Mes mollets de plomb face au « vrai vide » accompagneront les multiples souvenirs de ces 3 jours de stage. Je suis ravie d’être citée dans ton répertoire des excuses les plus acrophobiques et j’aime ta façon de les relever : l’auto-dérision favorise une certaine prise de distance. Elle me fait souvent défaut ! Merci encore infiniment de ta patience et de ta bienveillance à l’égard de nous tous et à mon égard en particulier. Je mesure, je crois, l’énergie déployée, l’attention de chaque instant et la responsabilité que vous prenez en nous accompagnant dans cette démarche.
Encore merci mille fois, Pascale. Je te souhaite un bel été, de belles rencontres et des apéros pleins de rires. Nicole